Depuis le début du mois de mai, Washington impose un embargo sur le pétrole vénézuélien, afin d’affaiblir le pouvoir en place. Cependant, le Président Maduro continue de bénéficier du soutien de la Chine et de la Russie.

La situation économique reste très dégradée. En février, l’agence des Nations Unies pour les réfugiés estimait qu’en moyenne en 2018, 5000 Vénézuéliens quittaient le pays chaque jour. Malgré cela, seuls 10 Vénézuéliens ont demandé l’asile en Guyane en 2018 (0,45 % des demandes).

https://www.lemonde.fr/international/article/2019/05/17/venezuela-le-gouvernement-et-l-opposition-ouvrent-une-mediation-a-oslo_5463329_3210.html