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Juin 2017

15 06 17
Parution des tableaux de bord du CEROM
Parution des tableaux de bord du CEROM

Le projet Comptes économiques rapides pour l’Outre-mer (CEROM), est le fruit d’un partenariat entre 7 partenaires. Signé le 12 juillet 2004, puis renouvelé en 2007, 2010 et 2014, l’accord-cadre de partenariat CEROM réunit l’IEDOM, l’IEOM, l’AFD, l’INSEE, l’ISEE (Institut de la statistique et des études économiques de la Nouvelle-Calédonie) et l’ISPF (Institut statistique de la Polynésie française). Les finalités du partenariat CEROM sont de plusieurs ordres : promouvoir l’analyse économique au travers de travaux interinstitutionnels ; construire un réseau d’échange de bonnes pratiques et de comparaison de méthodes entre les parties ; renforcer la qualité du système d’information économique en rapprochant statisticiens, économistes et utilisateurs de données économiques. Les tableaux de bord du premier trimestre sont disponibles.

14 06 17
Banque de France :  Projections macroéconomiques pour la France du juin 2017
Banque de France : Projections macroéconomiques pour la France du juin 2017

Selon les projections macroéconomiques pour la France effectuées dans le cadre de l’Eurosystème, sur des hypothèses arrêtées mi-mai 2017, la reprise de la croissance du PIB se confirmerait, avec une accélération progressive : après 1,1 % en moyenne annuelle (cjo) en 2016, au moins 1,4 % en 2017, puis 1,6 % en 2018 et 2019. [...] Après un niveau faible en 2016, à 0,3 % en moyenne annuelle, l’inflation (IPCH) se redresserait progressivement à 1,2 % en 2017 et 2018, puis 1,4 % en 2019. L’inflation hors produits alimentaires et énergie resterait basse en 2017, à 0,6 % en moyenne annuelle, mais remonterait ensuite pour atteindre 1,2 % en 2018, puis 1,4 % en 2019.

14 06 17
Bloc-notes Eco de la Banque de France : Pourquoi les taux d’intérêt ont baissé, et pas le rendement du capital
Bloc-notes Eco de la Banque de France : Pourquoi les taux d’intérêt ont baissé, et pas le rendement du (...)

Les taux sans risque ont baissé depuis 1980, pas le rendement du capital. Dans le cadre d’un modèle à générations imbriquées, Marx, Mojon et Velde (2017) montrent que ces évolutions contrastées peuvent s’expliquer principalement par une augmentation du risque sur la croissance de la productivité. Ceci implique que les taux réels vont probablement rester bas pendant plusieurs années.

13 06 17
Publication des Perspectives économiques de l’OCDE de juin 2017
Publication des Perspectives économiques de l’OCDE de juin 2017

Lors de la présentation de ces Perspectives économiques de l’OCDE de juin 2017, le secrétaire général de l’organisation Angel Gurría, a déclaré : « Après cinq années de croissance faible, on observe des signes d’amélioration ». Selon ces Perspectives économiques, la croissance mondiale devrait se hisser à 3,5 % en 2017 et à 3,6 % en 2018. La zone euro devrait voir sa croissance atteindre les 1,8 % en 2017 comme en 2018.

12 06 17
BCE : Réunion du Conseil des gouverneurs du 8 juin 2017
BCE : Réunion du Conseil des gouverneurs du 8 juin 2017

À l’issue de la réunion du 8 juin 2017 du Conseil des gouverneurs de la Banque Centrale Européenne qui se tenait à Tallinn en Estonie, Mario Draghi a déclaré : « Au terme de notre examen régulier de la situation économique et monétaire, nous avons décidé de laisser les taux d’intérêt directeurs de la BCE inchangés. [...] En ce qui concerne les mesures non conventionnelles de politique monétaire, nous confirmons que nos achats nets d’actifs, au rythme mensuel actuel de 60 milliards d’euros, devraient être réalisés jusque fin décembre 2017 [...]. Les achats nets s’effectueront en parallèle avec des réinvestissements des remboursements au titre du principal des titres arrivant à échéance acquis dans le cadre du programme d’achats d’actifs. [...] Les informations devenues disponibles depuis la dernière réunion du Conseil des gouverneurs, fin avril, corroborent un renforcement de l’économie de la zone euro, qui devrait, selon nos projections, croître à un rythme légèrement plus élevé qu’anticipé antérieurement. [...] Cependant, l’expansion économique doit encore se traduire par une dynamique d’inflation plus forte. À ce stade, les mesures de l’inflation sous-jacente restent faibles. Par conséquent, une orientation très accommodante de la politique monétaire demeure indispensable pour aviver les pressions inflationnistes sous-jacentes et soutenir l’inflation globale à moyen terme. Si les perspectives deviennent moins favorables, ou si les conditions financières ne permettent plus de nouvelles avancées vers un ajustement durable de l’évolution de l’inflation, nous sommes prêts à accroître le volume et/ou à allonger la durée de notre programme d’achats d’actifs. »

La déclaration Introductive de Mario Draghi