Vous trouverez dans cette rubrique un ensemble des notes ponctuelles sur des thématiques spécifiques ou transversales d’actualité pour la Martinique.
En Martinique, la banane constitue la principale activité agricole que ce soit en terme de surface agricole utilisée, de nombre d’exploitations, de production, de création de richesse agricole ou de créations d’emplois. La filière engendre près de 12 000 emplois, dont 6 000 à 8 000 emplois indirects. Toutefois, en terme de création de richesse, son poids dans l’économie est relativement faible (1,6 %). La valeur ajoutée du département provient en effet principalement du secteur des services (48,5 % de (...)
Cette note présente des éléments chiffrés sur les procédures collectives et, plus spécifiquement, sur les défaillances des entreprises martiniquaises au cours des trois dernières années.
Entre 2004 et 2006, l’IEDOM a recensé près de 2 000 jugements sur les entreprises, un pic étant observé en 2005 avec 688 jugements contre 670 en 2004 et 621 en 2006. Parmi ces derniers, ceux ayant trait aux défaillances présentent une évolution similaire, bien qu’une différence puisse être relevée : le nombre enregistré (...)
Définis par l’Insee comme grandes surfaces à prédominance alimentaire, les
supermarchés sont le modèle du commerce de proximité par excellence, notamment grâce à la flexibilité de leur format (entre 400 et 2 500 m²). Modèle dominant en Martinique, comme dans l’hexagone, en termes de chiffres d’affaires, les hypermarchés occupent le segment supérieur à 2 500 m². Si certaines enseignes de supermarchés sont locales, la totalité des hypermarchés de l’île sont franchisés à des réseaux nationaux. Par ailleurs, (...)
Contribuant à hauteur de 6% à la valeur ajoutée du département et regroupant 5,3% de l’emploi salarié, la construction est le cinquième secteur d’activité en terme de richesse produite. En 2004, le secteur concentrait 14% des établissements de l’île selon l’Insee.
La présente étude s’appuie sur des données extraites des documents périodiques transmis trimestriellement par les établissements de crédit de la Martinique assujettis à la surveillance de la Commission bancaire. Elle porte sur les crédits à la consommation qui se définissent, à partir des dispositions prévues à l’article 311-3 du code de la consommation, comme les crédits consentis pour une période supérieure à trois mois pour des montants au plus égaux à 21 500 euros, en faveur des ménages, non destinés au (...)
Les changeurs manuels sont des personnes physiques ou morales, autres que les établissements de crédit, qui font profession habituelle d’échanger immédiatement des billets ou monnaies libellés en devises différentes, ou d’échanger des espèces contre un règlement par un autre moyen de paiement libellé en devise différente. Ils peuvent également remettre des euros en espèces en contrepartie de chèques de voyage libellés en (...)