On observe généralement dans les économies développées une segmentation des moyens de paiement selon la valeur des transactions : les espèces privilégiées pour les opérations de faibles montants, la carte bancaire pour les règlements de montants intermédiaires et le chèque ou le virement pour les opérations de montants élevés. Pour autant, les Martiniquais se distinguent des Français hexagonaux par un recours plus marqué à l’argent liquide. Par ailleurs, comme au niveau national, la carte bancaire (...)

La Martinique dispose de nombreux atouts pour permettre le développement d’une économie verte sur le territoire. Tout d’abord, les questions d’environnement et de développement durable y sont prégnantes puisqu’il s’agit d’un « hot spot » de la biodiversité mondiale21. L’ile est également un territoire bénéficiant de diverses sources possibles d’énergie renouvelable (soleil-terre-mer).

Des ressources et des capacités à valoriser.
L’élargissement du domaine maritime de la France devrait contribuer à l’émergence d’une véritable « économie bleue » dynamique participant à la compétitivité régionale des territoires, à l’utilisation efficace des ressources, à la création d’emplois et à l’émergence de nouvelles sources de croissance, tout en préservant la biodiversité.

L’enquête typologique permet d’établir le profil sociodémographique et professionnel des personnes en situation de surendettement et de déterminer le niveau et la structure de leurs ressources. En comparant ce profil avec celui des débiteurs métropolitains, certaines spécificités peuvent être relevées, souvent en lien avec la structure même de la population.

Un secteur à la recherche d’un nouveau souffle
De manière générale, l’industrie touristique désigne les activités dont la production principale est un produit caractéristique du tourisme. Cette industrie peut être regroupée selon cinq secteurs d’activité : l’hébergement, la restauration, les transports, les activités culturelles, récréatives et sportives, et les autres activités touristiques.

La crise économique de 2009 a entraîné une fragilisation de la situation financière des ménages. Après une période de relative stagnation, le nombre de ménages martiniquais surendettés a nettement progressé en 2010.
Malgré cette récente accélération, le nombre de dossiers déposés par habitant reste encore très inférieur à celui constaté en métropole. Cet écart tient notamment aux traits socioculturels propres à une société insulaire et à certaines caractéristiques socio économiques, qui constituent autant de (...)