Une activité économique au ralenti
En 2012, l’activité économique marque le pas, avec pour conséquence une progression du chômage. Dans ce contexte défavorable, les ménages adoptent un comportement de prudence : la consommation est peu vigoureuse. Le climat des affaires et, en parallèle, les prévisions d’investissement des entreprises se sont détériorés au cours de l’année. En l’absence de perspectives à moyen terme, les chefs d’entreprise révisent à la baisse leur politique d’investissement, se limitant au (...)
L’économie de la Martinique a bénéficié d’une croissance soutenue entre 1997 et 2007 (+2,9 % en moyenne par an et en volume) tirée par la consommation et l’investissement. Celle-ci s’est accompagnée d’une tertiairisation accrue des activités. A partir de 2007, la croissance ralentit (+0,9 %) puis devient négative en 2008 (-0,3 %) en lien avec la faiblesse de la demande intérieure et la contraction de l’investissement. La récession s’amplifie l’année suivante (-6,5 %) avec la crise sociale, mais la (...)
L’économie martiniquaise reste fragile depuis la crise sociale de 2009 qui a durablement impacté la confiance des agents économiques. Le rattrapage se poursuit en 2011, mais la progression est mesurée et ne permet pas de faire reculer le chômage
L’économie de la Martinique a bénéficié d’une croissance soutenue entre 1996 et 2006 (+3,1 % en moyenne par an en volume) tirée par la consommation et l’investissement. Celle-ci s’est accompagnée d’une tertiarisation accrue de ses activités. Un renversement de tendance s’est opéré à partir de 2007 avec une décélération de la croissance (+0,9 % sur un an) et un recul en 2008 (-0,3 %), résultant de la faiblesse de la demande intérieure et de la contraction de l’investissement. La récession s’est amplifiée en (...)
Une reprise ne demi teinte
L’économie de la Martinique a bénéficié d’une croissance soutenue entre 1996 et 2006 (+ 3,3 % par an en volume), tirée par la consommation et l’investissement. Celle-ci s’est accompagnée d’une tertiarisation accrue de ses activités. Un renversement de tendance s’est opéré à partir de 2007 avec une décélération de la croissance (+ 0,9 % sur un an) et un recul en 2008 (- 0,3 %), résultant de la faiblesse de la demande intérieure et de la contraction de l’investissement. La récession s’est amplifiée en 2009 sous (...)