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Informations économiques et financières

26 07 21
Publication du rapport d’activité 2020 de l’IEDOM
Publication du rapport d’activité 2020 de l’IEDOM

L’Institut d’émission des départements d’outre-mer (IEDOM) présente les faits marquants de son activité en 2020. La thématique de cette année est consacrée à l’économie du numérique, secteur dynamique et en pleine expansion. Les nouvelles technologies du numérique, et notamment la digitalisation des processus, sont source de croissance et d’opportunités nouvelles pour de nombreux secteurs d’activité en ce sens qu’elles offrent des possibilités de simplification et d’efficience accrues face aux risques de toute nature auxquels nous sommes amenés à faire face. La crise sanitaire, apparue au premier trimestre 2020, grève les économies ultramarines depuis maintenant plus d’un an avec un impact sur l’activité économique finalement plus limité qu’attendu en début de crise. En effet, pour l’année 2020, le recul du PIB s’annonce globalement moindre que ce qui avait été anticipé et inférieur aux -8 % attendus pour l’Hexagone.

26 07 21
À quoi ressemblera la banque du XXIè siècle ?
À quoi ressemblera la banque du XXIè siècle ?

Denis Beau, Premier sous-gouverneur de la Banque de France

Pour lancer notre discussion sur la banque du 21ème siècle, je voudrais faire trois constats et vous proposer un pronostic.
1. Le modèle de la banque universelle, particulièrement fort en France, sous la forme de grands groupes de bancassurance intégrés qui cumulent les fonctions de collecte des dépôts et de distribution du crédit et offrent une large gamme de services financiers, a montré sa robustesse pendant les deux grandes crises traversées depuis le début du siècle. Non seulement notre secteur bancaire a fait preuve de résilience mais dans la crise du Covid, il a aussi été en mesure de répondre aux besoins de financement et de trésorerie des entreprises, et de contribuer très activement au déploiement des mesures de soutien décidées par le Gouvernement et la Banque Centrale Européenne.

26 07 21
Pour un monde post-pandémique tourné vers la croissance
Pour un monde post-pandémique tourné vers la croissance

Geoffrey Okamoto

Depuis mars 2020, la riposte mondiale à la pandémie a coûté aux pouvoirs publics 16 000 milliards de dollars sous forme d’aide budgétaire, sans compter les 7 500 milliards de dollars inscrits au bilan des banques centrales du monde. Les déficits frisent des sommets inédits depuis la Deuxième Guerre mondiale, et les banques centrales ont injecté dans l’économie plus de liquidité dans la dernière année que dans les dix précédentes combinées. Ces mesures étaient toutefois absolument nécessaires. Selon une étude du FMI, sans les interventions des décideurs, la récession de l’an dernier (la pire en temps de paix depuis la Grande dépression) aurait été trois fois pire.