Stabilité globale au 2e trimestre des défaillances en dépit de la hausse observée dans les Antilles et en Polynésie française :
Au 2e trimestre 2022, le nombre de défaillances cumulé sur un an dans l’Outre-mer est stable (-0,2 % par rapport au 2e trimestre 2021) alors qu’il augmente de 15,5 % pour la France entière. Si les défaillances progressent en Martinique (+8,7 %), en Polynésie française (+10,5 %) et surtout en Guadeloupe (+17,0 %), elles régressent partout ailleurs. Les défaillances augmentent (...)
Hausse au 1er trimestre des défaillances qui demeurent à un niveau bas par rapport aux années antérieures à la pandémie de covid-19 :
Au 1er trimestre 2022, le nombre de défaillances cumulé sur un an dans l’Outre-mer s’inscrit en hausse de 6,2 % (progression proche de la France entière, à 7,0 %). Si les défaillances reculent en Guadeloupe et en Guyane, elles progressent partout ailleurs.
Ces variations doivent être interprétées avec précaution puisque la période de référence (avril 2020 à mars 2021) (...)
Légère hausse des défaillances dans l’outre-mer au 4e trimestre :
Au 4etrimestre 2021, le nombre de défaillances cumulé sur un an dans l’Outre-mer s’inscrit en hausse de 2,1 % (alors que la France entière s’inscrit en recul de 12,2 %). Si les défaillances se maintiennent à un niveau historiquement bas dans le bassin Antilles Guyane, elles progressent à La Réunion (+18,5 %) et en Nouvelle-Calédonie (+8,8 %).
Les secteurs les plus touchés par les mesures de restriction liées à la crise sanitaire semblent (...)
Légère baisse des défaillances dans l’outre-mer au 3e trimestre
Au 3e trimestre 2021, le nombre de défaillances cumulé sur un an dans l’Outre-mer s’inscrit en diminution de 1,9 % (recul bien moindre que celui de la France entière où il atteint -24,6 %).Si les défaillances se maintiennent à un niveau historiquement bas dans le bassin Antilles-Guyane, elles progressent à La Réunion (+11,6 %) et en Nouvelle-Calédonie (+23,1 %).
Les secteurs les plus touchés par les mesures de restriction liées à la crise (...)
La crise sanitaire a provoqué un choc de trésorerie auquel les entreprises des départements d’Outre-mer de la zone euro (DCOM) (Guadeloupe, Guyane, Martinique, Mayotte, La Réunion) et des collectivités de Saint-Barthélemy, Saint-Martin et Saint-Pierre-et-Miquelon étaient très diversement préparées. Le besoin de trésorerie généré par l’activité (ou l’absence d’activité) varie beaucoup d’un secteur économique à l’autre, en fonction du cycle des affaires et des conditions relatives aux délais de paiement. Il en va (...)