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Actualités de l’Institut et suivi de place

29 01 21
Les dix premières entreprises martiniquaises représentent 39 % du chiffre d’affaires de l’île
Les dix premières entreprises martiniquaises représentent 39 % du chiffre d’affaires de (...)

Selon la note sur la situation financière des entreprises martiniquaises en 2018 publiée par l’IEDOM, les dix premières entreprises de l’île représentent 39 % du chiffre d’affaires, 28 % des effectifs, et 45 % des dépenses d’investissement. La structure de leur bilan dévoile que la part des fonds propres, historiquement plus faible dans les entreprises martiniquaises, tend à converger vers le niveau observé au plan national. Par ailleurs, l’endettement financier, essentiellement bancaire (95,8 %), reste modéré au regard du niveau des fonds propres, malgré des investissements conséquents. Il faut noter que les entreprises du territoire sont pénalisées par des besoins en fonds de roulement d’exploitation plus forts que dans l’Hexagone, notamment en raison de la nécessité de constituer des stocks importants du fait de l’éloignement des centres d’approvisionnement et de l’insularité. Pour plus de détail, la publication est consultable en ligne.

29 01 21
Baisse de la rentabilité des banques antillaises depuis 2010
Baisse de la rentabilité des banques antillaises depuis 2010

D’après la note de l’IEDOM sur le modèle économique des banques antillaises, les établissements bancaires sont confrontés à une baisse tendancielle de leur rentabilité depuis 2010. Les marges d’intermédiation ont fléchi avec la baisse des taux d’intérêt, alors que la progression des revenus de commissions est limitée par le plafonnement des frais bancaires (commissions d’interventions, incidents bancaires, …). Par ailleurs, le marché local est resté étroit et toujours caractérisé par une clientèle (particulier et entreprise) plus fragile que dans l’Hexagone. Cette tendance a poussé les établissements bancaires antillais à se réorganiser pour rationaliser les coûts, ainsi qu’à chercher de nouveaux relais de croissance. Pour plus de détail, la publication est consultable en ligne.

29 01 21
Tendances conjoncturelles : une reprise économique sans rattrapage
Tendances conjoncturelles : une reprise économique sans rattrapage

Au troisième trimestre 2020, l’indicateur du climat des affaires (ICA) s’est légèrement amélioré et s’établit à 91,3 points (+1,5 point). Les entreprises se déclarent plus optimistes concernant leur activité et leurs soldes de gestion (trésorerie, délais de paiement). A contrario, les réponses concernant le trimestre à venir (correspondant au quatrième trimestre) ont contribué négativement à l’évolution de l’ICA, les entreprises semblant anticiper les difficultés liées à la nouvelle dégradation des conditions sanitaires (reconfinement du mois de novembre). Dans l’ensemble, l’ICA reste encore en dessous de sa moyenne de longue période et ne présage pas un rattrapage. Pour plus de détail, la publication est consultable en ligne.