Forte hausse des impayés sur effets de commerce dans l’Outre-mer1 après la mise en place du confinement en France : sur le bimestre mars-avril 2020, le nombre et le montant des impayés progressent aussi bien par rapport au bimestre janvier-février 2020 (+45,0 % et +83,3 % respectivement) que par rapport au même bimestre de l’année précédente (+38,3 % et +59,0 %) (cf. tableau ci-après).
Alors que le nombre moyen mensuel d’effets impayés est légèrement supérieur à 500 entre janvier 2019 et février 2020, (...)
L’IEDOM et l’IEOM reviennent sur la conjoncture des Outre-mer 2019 et présente les perspectives pour 2020.
Pour mieux comprendre les grandes lignes de la situation économique des territoires ultramarins en 2019 et leurs perspectives pour 2020, vous pouvez retrouver la synthèse vidéo par Marie-Anne Poussin-Delmas de notre conférence de presse annuelle.
Marie-Anne Poussin-Delmas, Président de l’IEDOM et Directeur Général de l’IEOM, détaille les grandes lignes de la situation économique des territoires ultramarins en 2019 et leurs perspectives pour 2020 :
https://youtu.be/wYsDVnmagik
Cette étude a pour objet d’analyser le tissu productif des départements d’outre-mer de la zone euro (DCOM) (Guadeloupe, Guyane, Martinique, Mayotte, La Réunion) et des collectivités (Saint-Barthélemy, Saint-Martin et Saint-Pierre-et-Miquelon) à la veille de la crise sanitaire provoquée par l’épidémie du Covid-19. Elle doit permettre d’identifier les forces et les faiblesses des entreprises ultramarines afin d’apprécier leur capacité de résistance à ce choc d’une ampleur inédite.
L’étude utilise pour la (...)
La crise liée à l’épidémie en cours amène l’IEDOM à aménager, de façon exceptionnelle, sa procédure de cotation pour 2020
Les équipes d’analystes financiers de l’IEDOM ont démarré la cotation financière des bilans 2019, qui lui sont transmis et qui ne reflètent pas, et pour cause, le choc actuel. Sur cette base, la cotation apprécie, par une analyse à titre d’expert, la trajectoire financière à court-moyen terme (1-3 ans) des entreprises réalisant un chiffre d’affaires supérieur ou égal à 750 000 euros : cet (...)