Vous trouverez dans cette rubrique un ensemble des notes ponctuelles sur des thématiques spécifiques ou transversales d’actualité pour la Martinique.
Cette étude a pour but de décrire les principales caractéristiques du tissu productif martiniquais : le type d’entreprises que l’on retrouve sur le territoire, et surtout leurs forces et faiblesses sur le plan financier. Elle vient décliner localement les résultats présentés de façon globale dans l’étude IEDOM sur la situation financière des entreprises ultramarines, parue en avril 2020.
L’analyse, portant sur l’année 2018, présente l’avantage de dresser un tableau de l’état financier des entreprises à (...)
Bien qu’il représente un poids notable au sein du tissu entrepreneurial martiniquais, le BTP est sous contrainte depuis une dizaine d’années, ayant subi la crise de 2008-2009 et peinant à se relever depuis. Le secteur fait face à une modification de la demande, c’est pourquoi les professionnels doivent s’adapter pour répondre au mieux aux nouveaux besoins, mais également afin de se tourner vers des vecteurs de croissance (...)
On observe généralement dans les économies développées une segmentation des moyens de paiement selon la valeur des transactions : les espèces privilégiées pour les opérations de faibles montants, la carte bancaire pour les règlements de montants intermédiaires et le chèque ou le virement pour les opérations de montants élevés. Pour autant, les Martiniquais se distinguent des Français hexagonaux par un recours plus marqué à l’argent liquide. Par ailleurs, comme au niveau national, la carte bancaire (...)
La Martinique dispose de nombreux atouts pour permettre le développement d’une économie verte sur le territoire. Tout d’abord, les questions d’environnement et de développement durable y sont prégnantes puisqu’il s’agit d’un « hot spot » de la biodiversité mondiale21. L’ile est également un territoire bénéficiant de diverses sources possibles d’énergie renouvelable (soleil-terre-mer).
Des ressources et des capacités à valoriser.
L’élargissement du domaine maritime de la France devrait contribuer à l’émergence d’une véritable « économie bleue » dynamique participant à la compétitivité régionale des territoires, à l’utilisation efficace des ressources, à la création d’emplois et à l’émergence de nouvelles sources de croissance, tout en préservant la biodiversité.