contractualisé109baisse légèrement à fin 2018110, à 349 M€ (contre 373M€ en 2017), maisdevait se maintenir en 2019. Entre 2011 à 2020, le volume d’affaires publié est Volume d'affaire contractualisés (VAC) en moyenne de 443,1 millions d’euros par an, soit 4,4 600 227 milliards d’euros sur la période. Il est constitué pour41 % 500 170 de travaux publics, 34 % de bâtiments non résidentiels et 186 175 400 de 25 % de logements. 158 145 TOTAL 118 5697 3 22,4% 132 200 697 73 27,5% Signe d’une activité en plein développement, le 1266 49,9% 94 volume d’affaires publié annuel surlestroisdeniè 1001271298 145 5950,1% 99 89 171 r res 3266 61628,7% 41 55 104 0 années est supérieur à la moyenne des dix dernières 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 LogementsBatiments non résidentielsTravaux publics années. Source : CERC Guyane 3.2 UNE HAUSSE DE L’ACTIVITÉ PUBLIQUE QUI SE PRÉCISE POUR LE SECTEUR Depuis sa signature en juin 2019, la structuration des projets et l’investissement public sont encadrés par le Contrat de Convergence et de Transformation (CCT). Ilintègre les besoins identifiés dans les Accords de Guyane d’avril 2017, le livre bleu des Aiss ses des Outre-mer et les conclusions des États Généraux organisés par la CTG en 2018. Au total,près de 1,75 milliard d’euros sont mobilisés pour soutenir des projets structurants dans les territoires d’outre - mer, le CCT Guyane recouvre 28 % de cet engagement, soit 497,4 M€ : 296,0 M€ de crédits contractualisés de la part de l’État ; 196,7 M€ de crédits contractualisés de la part de laCollectivité territoriale de Guyane ; 4,7 M€ de crédits émanant des Établissements Publicsde Coopération Intercommunale (EPCI), principalement destinés à la gestion des déchets. Parallèlement, le Plan-logement outre-mer présenté en décembre 2019, représente 600 millions d’euros d’investissements sur 3 ans. Ce plan ambitionne de doubler les constructions de logement et d’adapter les réglementations aux réalités de chaque territoire. 3.2.1 Construction et extension de collèges et de lycées Le plan d’urgence économique mobilise 50 millions d’euros par an durant 5 ans, soit 250 millions d’euros au total d’engagement de l’État pour les établissementsscolaires du second degré. Par ailleurs, l’engagement de faire passer de 10 à 15 millions d’euros par an la dotation de l’État aux communes pour construire et rénover des écoles pendant 10ans est inscrit au plan d’urgence économique. Le CCT reprend et complète cet accompagnement et prévoit 15,5M€ de crédits contractualisés de l’État et 75,7 M€ dela CTG. Ces fonds permettent notamment de financer la cité scolaire à Saint Georges (67 M€ ; livraison en 2024), le lycée 4 à Saint-Laurent-du-Maroni (47,5 M€ ;2023), le lycée de Macouria (45 M€ ; rentrée 2024), le lycée à Maripasoula (40 M€ ; 2022). L’ensemble des chantiers en cours et des projets de constructions scolaires est estimé par la CERC à 375 M€. 109Somme cumulée des montants de marchés de travaux attribués et notifiés avec ordre de services. 110 Prévisions du CERC « Observatoire de la commande publique 2018 », 3 octobre 2018. 102