Section 1 Aperçu général Un secteur tertiaire dominant … La structure de l’économie mahoraise se caractérise par la prédominance très marquée du secteur tertiaire dans la création de richesse, la composition du marché du travail (offres d’emploi enregistrées et répartition des emplois salariés) et la constitution du tissu économique. Cette caractéristique est le reflet du modèle économique mahorais basé sur les transferts publics et la consommation. Selon les bases de données Part des entreprises repertoriées par secteurs en 2020 de l’INSEE, Mayotte compte en 2020 11 360 entreprises (+7,4 % par Services rapport à 2019) dont 574 dans le Industrie marchands 5,1% Aministration secteur de l’industrie, 1 561 dans le 13,7% publique, Construction enseignement, secteur de la construction, 7 084 13,7% santé dans le secteur du commerce du 5,1% transport de l’hébergement et la restauration (62,4 %). On compte 580 entreprises dans l’administration publique, l’enseignement, la santé et l’action sociale. Le secteur des services marchands comptabilise 1 561 entreprises. Commerce, transport, l’hébergement, Au total le secteur tertiaire restauration représente 76,1% des entreprises Source : INSEE 62,4% mahoraises. En 2021, 1 801 entreprises ont été créés dont 91 dans le secteur de l’industrie, 248 dans le secteur de la construction, 926 dans le secteur du commerce du transport de l’hébergement et la restauration. On compte 131 nouvelles entreprises dans l’administration publique, l’enseignement, la santé et l’action sociale. Le secteur des autres services enregistre la création de 405 nouvelles entreprises. Les créations d’entreprise sont concentrées en grande majorité dans le secteur du commerce de gros & détail,transports, hébergement & restauration qui compte 51,4 % des entreprises créées. Il est suivi du secteur de la construction (13,8 %), des activités scientifiques technologiques et de soutien (12,9 %), l’administration publique, l’enseignement et la santé (7,3 %), l’industrie (5,1 %), les autres activités et services (4,6 %), l’information et la communication (3,2 %), les activités financières et d’assurance (1,1 %), et enfin les activités immobilières (0,7 %). 78